Communiqués de Presse
Magazine engagé
Paris le 17 mars 2021- Une véritable analyse de notre société, SO BAD MAG pousse à la réflexion sur les tendances et dysfonctionnements actuels. Délivrant un message puissant et réformateur destiné à ceux qui se posent des questions ou anticonformistes.
A contre-courant
Dans une société de consommation ou la vraie valeur des choses est bafouée. La population cherche à tout acquérir de façon directe que ce soit la consommation ou l’information, poussant ainsi à une désinformation et une deshumanisation générales des individus. SO BAD MAG prend la chose à contrepied en décortiquant de façon méthodique l’information.
Un effet miroir entre l’histoire et notre société
Qu’est ce qui nous a amené jusqu’ici ? Qu’est-ce que l’on aurait pu faire pour éviter la situation actuelle ? Comment peut-on prétendre à un meilleur avenir ? Comment survivre dans un monde de plus en plus digital ? Voilà le genre d’interrogations que SO BAD MAG cherche à éclaircir en s’appuyant sur notre histoire et les sciences pour dresser une analyse sociétale et comportementale sans raccourcis afin d’aboutir à une approche et une vision différentes de celles qui nous sont offertes.
Un magazine de battant pour les battants
Notre société est en proie à de nombreuses injustices comme l’antisémitisme, le racisme, l’homophobie, le sexisme, la pédophilie, la pauvreté, la violence (sous toutes ses formes). SO BAD MAG s’engage dans ces différentes luttes à travers des messages forts et des témoignages. SO BAD MAG peut compter sur le soutient de fortes personnalités publiques venant livrer leurs combats et réflexions pour une société ou l’égalité et la liberté ne seraient pas une utopie mais une réalité.
SO BAD MAG poursuit aussi son propre combat, celui de la connaissance et des arts. Seuls à même d’apporter la paix véritable en éveillant les consciences.
So good bubble
C’est bientôt le printemps et SO BAD MAG fleuris tel un arbre en perpétuelle croissance, inscrivant son savoir et son ADN dans sa sève.
L’arbre sémantique de ce savoir est un arrêt sur image, une suspension de temps ou tout deviens alors possible, ou l’on peut combiner des espaces temps irrésolus, impalpables, indéfinissables, ou la science, l’art et la philosophie peuvent coexister pour un résultat logique et intelligible.
Richard Feynman qualifiait la mécanique quantique d’indéfinissable, d’inexplicable.
So bad mag ne peut être définis ou se résumer en quelques mots, puisque c’est un fervent mélange de savoir, une capture du temps ou chaque fraction d’idée à sa place se composant d’autres idées et se matérialisant en un atome commun de 160 pages.
L’ouvrir c’est accéder à la connaissance, et la connaissance est infini.
Dans ce monde alternatif tout peut exister et coexister, juif et homo, musulmans et chrétiens, femme et pouvoir, homme et faiblesse.
Un monde ou le chat de Schrödinger peut devenir la pomme de Schrödinger dans le jardin d’Éden ou Adam est la pècheresse qui aura croqué la pomme en premier, ou dans cette autre réalité alternative les hommes sont à la merci des femmes et doivent se battre pour se faire respecter, ou les homos sont des êtres angéliques adulés par les males hétéros car ils assument leur féminité.
La Bulle de Savon
Prenez une bulle de savon, c’est la matérialisation de la femme, elle est faite de couleurs sublimes, elle vole ou bon lui semble, elle nait de par ton souffle, et pourtant malgré son incroyable beauté qui semble arrêter le temps, en suspens, elle se désintègre au moindre contact. D’une fragilité sans pareille, il n’y a que dans un tout petit espace-temps , imperceptible de par sa micro présence , que l’on peut admirer sa beauté .
Nos amis les Mouches
Les mouches, elles, sont des petites bêtes disgracieuses bruyantes , elles finissent ou écrasées dans le creux de vos mains ou elles s’envolent. Tout dépend de l’espace-temps dans lequel vous vous trouvez et dans lequel cette mouche se trouve ouvrant deux réalité alternatives , soit elle meurt soit c’est vous qui mourez de sommeil entendant les bruits incessants de cet insecte .
Dans la réalité de So bad , la mouche représente tout ce qui ne fonctionne pas dans la société : les hommes violents, les pervers…on ne peut pas toujours les coincer , mais si on ne les arrête pas ils iront perturber la nuit d’une autre petite fille.
La bulle et la mouche
Au contact de la mouche la jolie bulle a plusieurs solution, soit elle explose en vol sans pouvoir se relever, soit elle l’emprisonne à l’intérieur de sa bulle , soit le souffle que la petite fille lui aura porté est assez fort pour qu’elle vole bien plus haut que la mouche croisant ainsi son chemin sans même la regarder.
So bad mag c’est une élévation de l’être humain dans sa généralité, un appel à la réflexion pour une évolution commune, un appel au renversement des codes sociaux. Pour cela nous n’utilisons pas de bulldozer , d’armes ou de banderoles, pour cela nous entrons dans la bulle pour nous élever et contempler l’humanité pour mieux la reconstruire.
Etre So bad c’est être un intellectuel, réfléchis, et révolutionnaire !
Le temps est une valeur indomptable, comme Nous
D’ailleurs il faut que j’y aille !
Matilda Kahn
CEO AND FOUNDER SO BAD
SO BAD : une ascension en marche
Paris le 23 avril 2021- SO BAD MAG a connu une évolution constante à travers les différents confinement le magazine à quand même su s’imposer et faire entendre son message.
Un message à faire passer
Le mouvement SO BAD part d’une soif de connaissance sans limite, en effet l’objectif du magazine est de décortiquer la société actuelle en la mettant en relation avec l’Histoire. Le magazine vise à passer de l’ombre de l’ignorance à la lumière de la connaissance et du savoir afin de déstructurer la société actuelle et bâtir une société éclairée et emplie d’équité et de justice
Started from the bottom
SO BAD MAG à été fondé en 2019 par Matilda KAHN mannequin et directrice de OWN Agency Paris, le premier SO BAD part d’une collaboration avec le photographe Xavier DELHOUME. Les prémices de SO BAD naissent dans un petit studio photo situé dans une école d’art, les débuts sont assez compliqués l’équipe SO BAD n’était constitué que d’une dizaine de mannequin professionnel. Le magazine numéro 1 est très symbolique et introduit les bases du mouvement on y voit pour la première fois en couverture du magazine la fondatrice Matilda KAHN portant les gants de boxe symbole de SO BAD. Après la parution du numéro 1, grâce à une communication virale plus que réussi, le magazine fait parler de lui et très vite de nombreux mannequins proposent d’y figurer. La motivation, la discipline, la soif de connaissance et la synergie de l’équipe SO BAD, a fait du magazine ce qu’il est aujourd’hui !
Une ascension inarrêtable
En effet, SO BAD MAG a évolué à travers plusieurs contextes. Le numéro 1 à été conçu avant le premier confinement et la communication s’est donc faite plus physiquement à travers différents événements comme lors du Fashion Show Geneva Hotel président Wilson, défilé à Genève ou Matilda KAHN coorganisatrice, sponsort de l’évènement et fondatrice de SO BAD MAG est interviewé par Suisse TV et annonce la sortie du numéro 1 en exclusivité. Le premier volet a permis d’amorcer la machine et de pouvoir digitaliser tout le processus de communication ainsi que la conception pour le numéro 2. Le numéro 2 malgré le confinement s’est donc fait en distanciel grâce à Matilda KAHN qui a multiplié le champ des possibles, en effet les auditions pour les shootings photos se faisait en visioconférence en Hollande grâce à un mannequin de l’agence OWN AGENCY, Jason Rome qui a notamment posé pour de grandes marques tel que Emporio Armani. Le numéro 2 est donc un magazine qui dépasse les frontières ayant un processus de conception internationalisé.
Pour le numéro 3 , Matilda s’est associée avec Laurent LO ancien attaché de presse de Runway magazine, il est débauché pour SO BAD!
Une araignée qui tisse sa toile
Aujourd’hui, SO BAD est connu à l’international et touche de multiples domaines, cette évolution s’est fait progressivement comme une araignée qui tisse sa toile. . Le magazine dans les trois volets échange avec des magazines internationaux, pour le premier SO BAD on à un échange avec NEW SIGHT un magazine Suisse puis pour le numéro 3 avec Golda, magazine Israélien .
Vers de nouvelles perspectives
L’équipe SO BAD à aussi pour projet d’ouvrir une nouvelle agence en Hollande qui est l’un des pays piliers du magazine en termes d’audience, restez connecté !
Contact de presse:
Matilda Kahn
0664495606